Impensable ! Que devient la Vérité ?

Tout va de travers dans l'Eglise catholique après " Laudato si " , " Amoris Laetitia " , voici maintenant une commission crée par le pape pour élaborer le plan d'une " nouvelle messe " .
Que devient la Vérité et où est -elle dans toute cette agitation qui continue " en marche " vers où , vers quoi , vers qui ? 
Est -ce une volonté manifeste de réunification de religion au détriment de l'Eglise catholique ? 
Est-ce une volonté de construire une nouvelle église POUR le monde ? 
Est -ce un commencement d'une nouvelle et seule religion mondiale ? 


L'excellent site de " pro Liturgia " donne des infos par le journaliste M.Tosatti bien informé sur le sujet .

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"Le journaliste italien Marco Tosatti rapporte que le pape François a créé une commission chargée d’élaborer une “nouvelle messe” qui puisse être célébrée par les catholiques, les luthériens et les anglicans.
La commission se compose de représentants des trois confessions, tous liés au secret.
Selon Tosatti, la commission n’a guère de difficulté à trouver un terrain d’entente pour la liturgie de la Parole : “Après le rite pénitentiel et la proclamation du Gloria, il y aurait les lectures et l’Evangile”.


Le Credo ne pose pas de problème : si les communautés protestantes préfèrent prier le Credo des Apôtres, ils reconnaissent le Symbole de Nicée. Dans l’Eglise catholique on alterne les deux textes (dans le meilleur des cas). 
L’offertoire ne constitue pas non plus un obstacle majeur au projet du pape François.
La question la plus délicate demeure l’Eucharistie, puisque la compréhension catholique de la Consécration est profondément différente de celle qu’en ont les luthériens ou les autres communautés protestantes : les catholiques croient en la transsubstantiation et en la Présence réelle de Jésus dans l’Eucharistie, tandis que les protestants pensent que l’Eucharistie n’est qu’un symbole dont le sens est dépendant du croyant.
Tosatti rapporte que la commission penche pour une solution consistant à dire les mots de la consécration à voix basse, de façon à ce qu’ils soient inaudibles par l’assistance. 
Autre solution proposée : après le Sanctus, au moment où, normalement pendant la messe, le prêtre dit les premiers mots de la Prière eucharistique, les différents célébrants garderaient le silence, chacun répétant mentalement “sa propre” formule.
Le silence ne serait rompu qu’au moment où l’assemblée dit le “Notre Père”. 
Pour ce qui est de la communion, rien n’est encore réglé. 
En complément de ce qu’avance Marco Tosatti, généralement très bien informé, il faut tenir compte des récentes remarques du cardinal Francesco Coccopalmerio, proche collaborateur du pape François et actuellement président du Conseil pontifical pour l'interprétation des textes législatifs. 
Le cardinal a clairement suggéré qu’il fallait arrêter de penser aux sacrements en termes de validité ou d’invalidité. 
Pour favoriser l’œcuménisme si cher au pape, il a estimé que nous devrions commencer à comprendre les sacrements en termes de validité “imparfaite” ou “partielle”.



http://proliturgia.pagesperso-orange.fr/actua.html

Bonjour Zamie,

Nous passons tous par cette période d'indignation ! Serait-ce l'abomination de la désolation qui se prépare ? ... Sacrilège.

 A chaque jour suffit sa peine. Préparons-nous à chaque instant à vivre des "choses" indignes et remettez TOUT au Seigneur. Lui Seul sait lire dans nos petites âmes : Il sait combien nous souffrons de ce qui se passe dans le monde. Croyons qu'Il y mettra un terme, à la façon d'UN Dieu Tout-Puissant, et à l'heure voulue par Lui. 

Union de prière.

Si on dit à voix basse une chose totalement différente de son voisin, on peut aussi bien aller prier dans une mosquée puisque ce qui compte c'est ce qu'on dit à voix basse.. je ne vois pas en quoi cela favorise l'unité des chrétiens (qui n'est que de façade).

Donc, je prie pour le Pape et l'ensemble du corps sacerdotal afin que, dans ces moments difficiles que nous vivons, la Passion de l'Eglise, les prêtres fidèles soient fortifiés, et les autres se convertissent. J'offre au Seigneur tout ce que je vois et qui m'interroge, le Seigneur conduit son Eglise, elle doit passer par sa propre mise en croix, sa propre Passion. On la croira morte, disparue, elle renaîtra Glorieuse.