Abu Dhabi... encore une hérésie.

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Mgr Marian Eleganti





Evêque suisse: Déclaration d'Abou Dhabi signée par le pape, un imam, éclipse Jésus en tant que médiateur et sauveur
  Abu Dhabi , Antichrist , Catholique , Jésus Christ , Marian Eleganti
6 septembre 2019 ( LifeSiteNews ) - Un évêque suisse s'est prononcé fermement contre la déclaration d'Abou Dhabi signée plus tôt cette année par le pape François et un dirigeant musulman, selon laquelle la «diversité des religions» est «voulue par Dieu» . ”Mgr Marian Eleganti, évêque, a déclaré que« la médiation unique et universelle de Jésus-Christ est éclipsée »dans la déclaration.
«D'un point de vue chrétien, la médiation unique et universelle de Jésus-Christ est éclipsée dans la Déclaration d'Abou Dhabi en raison de la double signature. C'est étonnant pour un pape », a déclaré Mgr Eleganti, évêque auxiliaire de Coire, en Suisse, dans sa déclaration. (Lire la déclaration complète ci-dessous)
Mgr Eleganti a critiqué la déclaration pour avoir fait des déclarations impossibles sur Dieu. 
"Puisque Dieu n'est pas un être qui soit contradictoire en lui-même", a déclaré Eleganti, "il ne peut désirer une hétérogénéité des idées sur lui et donc la pluralité des religions qui se contredisent". L'Islam est "une religion explicitement anti-chrétienne qui nie exactement ce qui constitue l’essence du christianisme: la filiation divine de Jésus-Christ et la Trinité de Dieu qui lui est associée », at-il expliqué.
Dans ses réflexions ultérieures sur la question de l'établissement d'un "royaume de paix" sans Christ, le prélat a souligné qu'un "royaume de paix égalitaire, relativiste et œcuménique" similaire était promis par le personnage de "l'Antéchrist" dans le 119ème livre de Vladimir Soloviev . conte apocalyptique vieux d'un an .
"Le seul qui est Dieu et qui peut véritablement renouveler le cœur humain de l'intérieur est Jésus-Christ et son Évangile", a déclaré l'évêque.  
«Ironiquement, l'Antéchrist réconciliant dans le récit du même nom de Soloviev promet un royaume de paix aussi égalitaire, relativiste qu'œcuménique, dans lequel aucun des participants au discours ne doit sacrifier le moindre selon sa propre vision à la vérité absolue, mais entendez plutôt entendre par l'Antéchrist ce qu'il aime entendre exactement et ce en quoi il croit déjà. La coexistence pacifique des contradictions religieuses qui règnent entre eux dans le royaume de la fraternité n'a qu'un seul piège: la négation de la médiation de Jésus-Christ. condition de l’existence du royaume de paix », at-il ajouté.
Parmi les critiques de la déclaration du 4 février 2019 figurent également le cardinal Raymond Burke et l' évêque Athanasius Schneider . Ce dernier n’a répété que récemment sa critique et souligné que cette déclaration équivaut à «promouvoir la négligence du premier commandement» et à une «trahison de l’Évangile». 
Mgr Eleganti a souligné que, puisque l'Islam a rejeté le fait que Jésus est le Fils de Dieu, une telle déclaration commune n'est possible qu'au détriment du rôle salvifique unique du Christ. Il a écrit que «comme toujours, la nouvelle fraternité est établie aux dépens de la médiation universelle de Jésus-Christ: sa prétention à la vérité et sa médiation doivent passer au second plan. C'est la condition préalable à la déclaration. Sinon, le Grand Imam n'aurait probablement pas signé la Déclaration. ”
Eleganti a appelé cela un «vœu pieux» lorsque la déclaration stipule que «la foi amène un croyant à voir dans l'autre un frère ou une soeur pour être soutenu et aimé». 
Un regard «sur la compréhension de soi des religions à partir de leurs documents de base et de leur histoire nous montre qu'il s'agit d'une affirmation qui n'est pas couverte par des faits historiques et qui reste donc une illusion ou un vœu pieux». Par exemple, l'idée aimer son ennemi - principe chrétien - est, selon l'évêque suisse, étranger à l'islam. "Une telle idée, par exemple d'aimer aussi les soi-disant" ennemis "ou" opposants "de l'islam, semble à l'Islam complètement déraisonnable et incompréhensible."
Le prélat poursuit en expliquant que «seuls les musulmans sont de véritables frères (de foi) du musulman croyant. Ils forment l' Umma (communauté religieuse). Les non-croyants et les incroyants dans l'Islam sont en soi des citoyens de seconde classe. "
L'évêque a déclaré qu'il suffisait de «regarder en Arabie saoudite, au Pakistan, en Afghanistan, au Nigeria et en Indonésie» pour voir comment l'islam traitait les non-croyants et les incroyants.
Mgr Eleganti a averti qu'un «royaume de paix» était en train d'être établi avec une telle déclaration, mais au prix de la médiation unique du Christ, favorisant une sorte de relativisme religieux. Il a souligné qu'un vrai règne de paix et une «fraternité de tous les êtres humains» ne seraient toutefois possibles «d'un point de vue chrétien» que dans l'Église universelle.
«Il n’est pas surprenant non plus, a poursuivi le prélat suisse, que les francs-maçons aient applaudi, car le document proclame exactement cette fraternité théiste qu’ils propagent, et avec la relativisation simultanée de toutes les prétentions religieuses à la vérité, à l’exception de leurs droits. propres, maçonniques. "
Mgr Eleganti a indiqué qu'il était dangereux d'essayer de créer un règne de paix sans Christ. 
«De tels concepts de paix humanitaires, essentiellement purement politiques, a-t-il déclaré, ont été proclamés et mis en œuvre par des moyens révolutionnaires au cours de l'histoire. En réalité, ils sont construits à partir de parties de la foi chrétienne, ou plutôt de l'évangile. Jusqu'à présent, ils ont tous échoué et n'ont pas tenu ce qu'ils avaient promis et aspiré. Le meilleur exemple de ceci est le communisme.
«La coexistence pacifique des contradictions religieuses entre eux dans le royaume de la fraternité n'a qu'un seul piège», a écrit Eleganti, à savoir: «la négation de la médiation de Jésus-Christ comme condition de l'existence du royaume de paix. Personnellement, je ne crois donc pas en son succès - également parce que l'aide indispensable des sacrements, de la Grâce justifiant de Dieu dans la foi et de la médiation de la Vierge Marie - très chérie dans l'islam - est tout simplement manquante. "
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Texte intégral de la déclaration de Mgr Eleganti

La déclaration d'Abou Dhabi a ses faiblesses. Je me limiterai aux suivants:
1. Pourquoi les musulmans ne signent-ils pas simplement la Déclaration universelle des droits de l'homme, sans aucune réserve de la charia? En revanche, que peut faire une telle déclaration signée par des autorités qui ne sont reconnues ni par tous les musulmans ni par tous les chrétiens?
2. Puisque Dieu n'est pas un être contradictoire en lui-même, il ne peut désirer une hétérogénéité des idées sur lui et donc la pluralité des religions qui se contredisent. Surtout, l'islam est une religion explicitement antichrétienne qui nie exactement ce qui constitue l'essence du christianisme: la Filiation divine de Jésus-Christ et la Trinité de Dieu qui lui est associée. Ici, il s'agit de l'auto-révélation de Dieu.
3. L'affirmation selon laquelle «les religions n'incitent jamais à la guerre, n'éveillent pas le sentiment de haine, d'hostilité et d'extrémisme, ni n'appellent à la violence ni à l'effusion de sang» est une simplification falsifiante inadmissible, une généralisation de croyances hétérogènes et incommensurables au sein des différentes religions. donc une fausse affirmation et une fausse représentation de l'histoire. Cela contredit en particulier les documents fondateurs de l'Islam (Coran et Hadiths) qui appellent explicitement les gens à la violence. De plus, les chrétiens se sont sentis coupables et n'ont pas toujours agi conformément à l'Évangile. La doctrine de la guerre juste de l'Église ne peut pas être discutée ici, mais elle signifie certainement un progrès culturel.
4. Dans le premier chapitre de l'Évangile de saint Jean, la filiation avec Dieu ne repose pas sur l'appartenance naturelle à la famille humaine (non basée sur la volonté de la chair), mais sur la foi en Jésus-Christ et le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit (né de l'Esprit et de l'eau, c'est-à-dire né de Dieu). Seules la reconnaissance et l'acceptation de l'unique médiation de Jésus-Christ permettent cette filiation avec Dieu: «Mais à tous ceux qui l'ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à tous ceux qui croient en son nom, qui ne sont pas nés de sang. , pas de la volonté de la chair, pas de la volonté de l'homme, mais de Dieu. ”(Jean 1: 12-13). On ne peut pas avoir Dieu comme Père si on n'a pas l'Église comme Mère (Cyprien de Carthage).
Cela m'amène à mon point central de critique. Dans la préface, la Déclaration d’Abou Dhabi commence par la première phrase: «La foi amène un croyant à voir dans l’autre un frère ou une soeur pour qu’il soit soutenu et aimé.» À cet endroit et dans d’autres - comme je l’ai dit - il parle sans distinction de «Foi» (dans le christianisme: une grâce surnaturelle et généreuse, pas une attitude naturelle-religieuse). La foi de qui? Celui des musulmans? Des hindous? Les bouddhistes? Les athées? Toute sorte de vraie foi religieuse (ce qui la distingue?) Établit - selon l'affirmation et le désir de la Déclaration - une fraternité universelle entre tous les êtres humains, dans la mesure où Dieu est le Créateur de tous les êtres humains. 
La phrase que la foi permet aux fidèles de voir dans l’autre un frère pourrait également être signée par des fidèles musulmans dans cette formulation si elle se réfère exclusivement aux musulmans. Qui garantit qu'il est compris par les musulmans du monde entier au sens universaliste du sens chrétien et qu'il a également été signé avec ce sens à l'esprit? En tout cas, cette idée est complètement étrangère à l’islam, voir un frère dans chaque être humain, c’est-à-dire aussi chez les chrétiens, les juifs et les incroyants ( Kuffar ). Comment la déclaration d'Abou Dhabi pourrait changer la conception de soi de l'islam, qui divise le monde en une maison de la paix ( Dãr al-Islãm ), où règne l'islam, et une maison de la guerre ( Dãr al Harb), si ce n’est pas le cas, on peut en douter. Les chrétiens, en revanche, ont intériorisé la parabole du Bon Samaritain sur la base de laquelle ils voient un frère dans chaque voisin. C'est absolument normatif et nécessaire pour eux, et c'est aussi une raison pour laquelle le christianisme a contribué à l'humanisation du monde comme aucune autre religion ne l'a fait. Le Christ lui-même, dans les paraboles du Bon Samaritain (Luc 10: 25-37) et du Jugement dernier (Matthieu 25: 31-46), a manifesté sa solidarité avec tout être humain qui, en principe et toujours, peut devenir mon prochain. . Jésus est mort pour tous les hommes. Pour les chrétiens, cela établit une relation complètement différente avec toutes les personnes, indépendamment de leur foi et de leur vision du monde. La charité des chrétiens va jusqu'à inclure leurs ennemis (inclusion). Une telle idée, par exemple,aimer aussi les soi-disant "ennemis" ou "opposants" de l'Islam, semble à l'Islam complètement déraisonnable et incompréhensible. Que peut changer une déclaration ici qui ne soit pas du tout une autorité normative et qui puisse parler pour tous les musulmans et pour l'islam dans son ensemble? Pourquoi le pape ne mentionne-t-il pas explicitement, dans la Déclaration d'Abou Dhabi, l'enseignement de Jésus d'aimer tout le monde - un enseignement qui doit implicitement être à l'origine de l'idée d'une fraternité universelle entre tous les hommes? Au moins, l'Islam considère également que Jésus est un prophète mais, paradoxalement, sans pour autant incorporer véritablement son enseignement et sa conception de soi. 
Dans la compréhension de soi de l'islam, l'affirmation selon laquelle la foi permet au croyant de voir le frère dans l'autre se réfère avant tout aux musulmans. Seuls les musulmans sont des frères authentiques (croyants) du musulman croyant. Ils forment le Umma(communauté religieuse). Les non-croyants et les incroyants de l'islam sont en soi des citoyens de seconde classe, car l'homme est né, selon la conception de l'islam, musulmane, en vertu de sa création (l'islam en tant que religion primitive d'Adam ou d'Abraham) et les Juifs comme les chrétiens ont falsifié la vraie foi au cours de l'histoire, selon la conviction musulmane, sinon ils seraient restés musulmans. C’est le fondement d’une inégalité fondamentale entre eux et les musulmans croyants, que le Document d’Abou Dhabi n’éliminera pas. Il faudrait demander aux convertis, par exemple , en Egypte - où se trouve l'école confessionnelle ou la soi-disant université Al Azhar - ou se tourner vers l'Arabie saoudite, le Pakistan, l'Afghanistan, le Nigeria et l'Indonésie.
D'un point de vue chrétien, la médiation unique et universelle de Jésus-Christ est éclipsée dans la Déclaration d'Abou Dhabi en raison de la double signature. C'est étonnant pour un pape. Comme toujours, la nouvelle fraternité est établie aux dépens de la médiation universelle de Jésus-Christ: sa prétention à la vérité et sa médiation doivent passer au second plan. C'est la condition préalable à la déclaration. Sinon, le grand imam n'aurait probablement pas signé la déclaration. Ce n'est pas seulement le cas dans ce contexte. Il n’est pas surprenant non plus que les francs-maçons aient applaudi, car le document proclame exactement cette fraternité théiste entre tous les peuples qu’ils propagent, et avec la relativisation simultanée de toutes les prétentions religieuses à la vérité, à l’exception des leurs, maçonniques. Une fois encore, il s’agit de la tentative de coexistence pacifique de toutes les contradictions religieuses et philosophiques (religions) en tant que maximum auquel on puisse rêver politiquement (coexistence). Mais le fait que toutes les créatures proviennent du même Créateur n'a jamais conduit dans l'histoire à une fraternité de tous les êtres humains en coexistence pacifique. Du point de vue chrétien, cela n’est possible que dans l’Église universelle. Mais comme l’idée chrétienne de la médiation de Jésus est étrangère - et même répugnante - à l’islam et aux autres religions, la fraternité universelle de tous les peuples reste pour eux un desideratum sans justification dans leur compréhension de soi et dans leur propre non-chrétien, fondations religieuses ( Mais le fait que toutes les créatures proviennent du même Créateur n'a jamais conduit dans l'histoire à une fraternité de tous les êtres humains en coexistence pacifique. Du point de vue chrétien, cela n’est possible que dans l’Église universelle. Mais comme l’idée chrétienne de la médiation de Jésus est étrangère - et même répugnante - à l’islam et aux autres religions, la fraternité universelle de tous les peuples reste pour eux un desideratum sans justification dans leur compréhension de soi et dans leur propre non-chrétien, fondations religieuses ( Mais le fait que toutes les créatures proviennent du même Créateur n'a jamais conduit dans l'histoire à une fraternité de tous les êtres humains en coexistence pacifique. Du point de vue chrétien, cela n’est possible que dans l’Église universelle. Mais comme l’idée chrétienne de la médiation de Jésus est étrangère - et même répugnante - à l’islam et aux autres religions, la fraternité universelle de tous les peuples reste pour eux un desideratum sans justification dans leur compréhension de soi et dans leur propre non-chrétien, fondations religieuses (par exemple , Coran, Hadith et charia). Les droits et les devoirs associés à la fraternité universelle (dignité humaine et droits de l'homme) restent sans fondements viables. 
La Déclaration d’Abou Dhabi propage une sorte d’idée laïque du «Royaume de Dieu», qui ne présuppose pas la foi chrétienne (la renaissance en esprit et en eau), mais plutôt - comme expliqué ci-dessus - une fraternité universelle étrangère à l’islam, mais nourrie Racines chrétiennes. Il se présente comme un royaume de paix naturaliste, généralement humain et politique. De tels concepts de paix humanitaires, essentiellement purement politiques, ont été proclamés et mis en oeuvre par des moyens révolutionnaires au cours de l'histoire. En réalité, ils sont construits à partir de parties de la foi chrétienne, ou plutôt de l'évangile. Jusqu'à présent, ils ont tous échoué et n'ont pas tenu ce qu'ils avaient promis et aspiré. Le meilleur exemple de ceci est le communisme.
Tel est le cas parce qu'ils ne convertissent le cœur de l' homme à la vérité sur Dieu et l' homme, mais parce qu'ils ont suivi les théories humaines falsifiées par leur propre histoire révolutionnaire au détriment des actes de violence des proportions inconnues et des millions de morts (cf. La Livre noir du communisme ). 
Le seul qui est Dieu et qui peut véritablement renouveler le cœur humain de l'intérieur est Jésus-Christ et son Évangile. 
Ironiquement, l'Antéchrist réconciliant dans le récit du même nom de Soloviev promet un royaume de paix aussi égalitaire, relativiste qu'œcuménique, dans lequel aucun des participants au discours ne doit sacrifier le moindre selon sa propre vision à la vérité absolue, mais au contraire, entendez exactement ce qu'il aime entendre et ce en quoi il croit déjà. La coexistence pacifique des contradictions religieuses qui règnent entre eux dans le royaume de la fraternité n'a qu'un seul inconvénient: le refus de la médiation de Jésus-Christ une condition de l'existence du royaume de paix. Personnellement, je ne crois donc pas en son succès - également parce que l'aide indispensable des sacrements, de la Grâce justifiant de Dieu dans la foi et de la médiation de la Vierge Marie - très chérie dans l'Islam - est tout simplement manquante.
Je me souviens ici des paroles prévenantes du pape François, qu'il a lui-même prononcées lors de sa première messe sacrée, le 14 mars 2013. Il convient d'évaluer la déclaration d'Abou Dhabi selon ces mots:

Citation :

Troisièmement, professer. Nous pouvons marcher autant que nous voulons, nous pouvons construire beaucoup de choses, mais si nous ne professons pas Jésus-Christ, les choses tournent mal. Nous pouvons devenir une ONG caritative, mais pas l’Église, l’Épouse du Seigneur. Quand on ne marche pas, on arrête de bouger. Que se passe-t-il lorsque nous ne construisons pas sur les pierres? Même chose qui arrive aux enfants sur la plage quand ils construisent des châteaux de sable: tout est balayé, il n’ya pas de solidité. Quand nous ne professons pas Jésus-Christ, la parole de Léon Bloy nous vient à l’esprit: "Quiconque ne prie pas le Seigneur prie le diable". Lorsque nous ne professons pas Jésus-Christ, nous professons la mondanité du diable, une mondanité démoniaque.

Maike Hickson
Le docteur Maike Hickson est né et a grandi en Allemagne. Elle est titulaire d'un doctorat de l'Université de Hanovre, en Allemagne, après avoir rédigé en Suisse sa thèse de doctorat sur l'histoire des intellectuels suisses avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle vit maintenant aux États-Unis et est mariée au Dr Robert Hickson. Ils ont eu la chance d'avoir deux beaux enfants. C'est une femme au foyer heureuse qui aime écrire des articles lorsque le temps le permet.
Le Dr. Hickson a publié en 2014 un Festschrift, un recueil d'une trentaine d'essais écrits par des auteurs attentionnés en l'honneur de son mari à l'occasion de son 70e anniversaire, intitulé A Catholic Witness in Our Time .


Hickson a suivi de près la papauté du pape François et les développements de l'Église catholique en Allemagne, et elle a écrit des articles sur la religion et la politique pour des publications américaines et européennes et des sites Web tels que LifeSiteNews, OnePeterFive, The Wanderer, Rorate Caeli, Catholicisme. org, Nouvelles de familles catholiques, Ordre chrétien, Nouvelles, Corrispondenza Romana, Katholisches.info, Der Dreizehnte, Zeit-Fragen et Westfalen-Blatt.